D'ou vient donc cette source d'inspiration qui, du jour au lendemain, vous donne une envie aussi intense d'écrire ? C'est presque comme un besoin, une drogue ? Sauf que c'est tout le temps passager, et quand je regarde bien, ce passage est souvent quand je suis seul. Pourtant dieu sait que je ne suis pas seul, j'ai pleins de gens qui m'entourent, mais il y a ce petit manque, cet infime petit trou, pas plus grand qu'une colone dans un immense palais, mais qui, absente, fait que le palait s'éffondre. Les grandes choses ont besoins des petites, car j'ai beau avoir du monde autour de moi, il manque une seule personne, il ne me reste plus qu'à savoir qui.
Je pense que si j'écris c'est pour combler ce manque, pour faire tenir le palais encore un petit moment, car je suis seul oui, mais je me plonge dans mes rêves, j'invente des histoires, je rentre dans un monde où, pendant un petit laps de temps, le palais n'a pas besoin de la colone pour tenir.
Ma muse ? La solitude.
Je pense que si j'écris c'est pour combler ce manque, pour faire tenir le palais encore un petit moment, car je suis seul oui, mais je me plonge dans mes rêves, j'invente des histoires, je rentre dans un monde où, pendant un petit laps de temps, le palais n'a pas besoin de la colone pour tenir.
Ma muse ? La solitude.
(photo de http://honeymoon27.skyblog.com)
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