18 heures passé, je n'avais pas vu le temps défiler. C'est pourtant rare, car souvent c'est l'heure que j'attend avec impatience, tel un gosse avant d'ouvrir ces cadeaux de noel... Toujours cette même petite angoisse, les mêmes question : est-ce qu'elle est là, est-ce qu'elle va répondre ? Et voilà, j'ai sa réponse, elle n'est pas occupée et va me consacrer un peu de son temps, comme presque tous les soirs, tel un petit rituel journalier où nous échangeons nos petites histoires futiles de la journée. Elle me parle comme si de rien n'était, d'un coté c'est normal, vu que rien n'est... Si elle savait, si elle pouvait s'imaginer qu'elle est mon deuxieme levé de soleil, que ma journée est séparé en deux grâce à elle...
Le pourquoi du toi...C'est toi